J’adore l’union entre le sexe et l’humour, alors je vous propose l’idée d’une histoire alternative où la secte Uranios serait une laiterie artisanale aux pratiques très… douteuses. La légende du fromage « Saint Vergeron » prendrait ainsi vie. ⚠️ Attention : ce n’est pas très « propre »…

Qu’est-ce que le Saint Vergeron ?

C’est un fromage de caractère, 100 % authentique, à fermentation naturelle, fabriqué dans la plus pure tradition fromagère, moulé au doigt, qui a su garder la saveur et l’onctuosité d’un véritable produit du terroir.
Le Saint Vergeron prend sa source au sein d’une congrégation de moines cisterciens, à l’abbaye du même nom, dans le plus grand secret, et ce depuis près de cinq siècles tout de même !
Dégusté traditionnellement sur du pain, il exprime sa saveur unique aux papilles les plus endurcies.

Pourquoi l'associer à la Secte Uranios ?

🛑 Attention, je divulgâche !

Pour ceux qui connaissent mon récit érotique « La Secte Uranios », je trouve que ce genre d’activité pourrait totalement s’inscrire naturellement dans l’univers de l’histoire.
Des moines reclus, déjà très cochons, sans limite ou presque… On peut aisément les imaginer produire un pur fromage de bite, tant c’est tordu - et donc parfait.
Qu’est-ce qui est vrai dans toute cette histoire ? Rien. Autant pour le fromage que pour mon récit.
C’est Canal+ qui a popularisé le Saint Vergeron auprès du grand public, à une époque où la chaîne produisait une panoplie de contenus parodiques qui bousculaient et bravaient la « bien-pensance ».
Choquer et rire de tout, c’était dans leur ADN (c’est moins vrai aujourd’hui). Il ne reste plus grand-chose de cette époque prolifique, mais quelques traces subsistent sur YouTube ou d’autres archives numériques…

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Attendez… vous y avez cru ne serait-ce qu'une seule seconde ?

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Quel est le lien et pourquoi de ça ici ?

Justement, on en revient à la parole libre et de l’impact d’un contenu. À travers mon podcast, je m’exprime librement, souvent de manière originale, tout en ayant conscience que ce que je produis peut avoir des conséquences, et je souhaite qu’elles restent positives.

Au départ, ma conscience de cet impact se limitait au nombre d’abonnés sur les plateformes de streaming. Puis elle s’est élargie au fil du temps. C’est pourquoi j’ai choisi de séparer le contenu le plus hard, comme le récit « La Secte Uranios », si je devais l’écrire à l’instant T, de mes histoires plus accessibles, comme « Poto rose », car toutes les oreilles ne sont pas prêtes à entendre ce que je raconte.

Certes, je m’autorise à écrire sans trop d’auto-censure, parce que j’ai besoin de cette liberté pour mon équilibre personnel, mais surtout je me distingue, du début à la fin, de la pornographie trop accessible et mécanique à mon goût. Je préfère qu’il y ait une barrière.

Une barrière qui soit à la fois une protection artistique, un filtre naturel pour les plus curieux et un moyen honnête de me financer, en vous proposant une vraie contrepartie.

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Même ici, j’ai hésité à publier cet article…

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Rire ou jouir, l’évasion est la même

Cette histoire de Saint Vergeron n’est qu’un clin d’œil, un prétexte à parler de mon approche : un mélange d’originalité, d’imaginaire et de désir.

Le Saint Vergeron, ce n’est évidemment qu’un délire parmi d’autres, mais il illustre bien ce que j’aime faire : détourner, imaginer, jouer avec les mots et les codes, en gardant une forme de sincérité dans ce que je raconte.

Mon podcast, c’est une façon de s’évader, de fantasmer autrement, de reprendre le pouvoir sur son imaginaire, très loin des contenus standardisés.

Et puis soyons honnêtes, n’est il pas indéniable que rire un bon coup fait autant de bien qu’un bon orgasme en ouvrant la voix à vraies sensations ?

❤️ Prenez soin de vous,
🦸‍♂️ Phalluranius

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